RIEN NE SE FERA SANS PUBLICITE
pour faire simple, je commence par ma dernière lettre, en date du 20 octobre, à notre Garde des Sceaux.
Les explications et développements viendront avec les pages et les liens qui seront ajoutés.
Madame
Rachida DATI
Ministre
de la Justice.
Madame,
Je suis victime de fanfaronnades, d’une
irresponsabilité et d’une infamie émanant de fonctionnaires ou assimilés.
Fanfaronnades.
Après dix mois de réflexions, contre les médecins de
l’hôpital Sainte-Anne de Paris XIVième je porterai plainte
pour : mise en danger de ma personne organique et contre ma personne
mentale. Mais, ce n’est pas le propos de cette lettre.
A cause d’une procédure de la police, j’ai été
conduit à Ste-Anne. Je vous avais informé que j’ais été victime de violences
policières devant trois pompiers. J’étais complètement consentant d’être
emmené. Je réclamais seulement d’être décemment vêtu et non pas de partir en
tongue et en habits de jardinage mal odorant. (vos références :
CAB/YI/IA/-200800160406 du 06/02/2008).
Les médecins de Ste-Anne avaient rapidement
diagnostiqué que j’avais une sérieuse défaillance de la thyroïde. Ils
continuaient cependant à m’administrer des drogues. Je pouvais très
difficilement me déplacer. Je ne m’exprimais que par des mouvements de la tête.
Je ne trouvais le sommeil que dans l’épuisement à cause de douloureuses
impatiences dans les cuisses et les jambes, voir des crampes. Après la prise
des médicaments, pendant quinze à vingt minutes, mon cœur battait plus vite et
plus fort. Je m’allongeais sous une fenêtre pour respirer l’air froid.
J’entendais les battements de mon cœur au niveau des tempes.
J’avais jusqu’à cinq visites d’amis chaque jours.
J’étais incapable de leurs dire que j’étais conscient d’être en danger de mort.
En cas de danger, je ne pouvais pas compter sur le secours d’un malade. J’avais
médité sur les conséquences d’un accident possible. Je sais, aujourd’hui, que
l’hôpital serait dégagé de toute responsabilité si je venais à décéder. On
pouvait donc me tuer sans se risquer.
L’ordre de ma relaxe, par le Préfet de Police, avait
mit fin à ce petit jeu. On ne m’avait certainement pas soigné pour ce que je ne
souffrais pas. On avait certainement porté atteinte à ma santé. A mon médecin
traitant, on s’était abstenu de fournir la liste des potions que j’ai dû
ingérer. Le rapport d’hôpital à l’entête du Pr MASSE était illisiblement
paraphé par une tierce personne. Je demande à connaître les effets à long terme
des mixtures ingurgité à Ste-Anne.
Après avoir lu le tract dont les quelques lignes
étaient la cause de mon hospitalisation, le groupe médical avait décidé de me
mettre sous curatelle pour ‘’ m’aider à ne plus envoyer de l’argent à mes
infortunés filleuls’’. Comment pouvait-il estimer mon état pour pondre les avis
dont le tribunal s’était servi.
Irresponsabilité et absence de libre arbitre.
Le Dr Henry FRIGNET mandaté par le tribunal, avait
clôturé la consultation en déclarant qu’à la vue des recommandations des
confrères de Sainte-Anne, il était obligé de recommander une tutelle très très
allégée. (Par habitude, j’avais enregistré cette consultation).
Il est possible qu’il m’avait lui même jugé
paranoïaque par ce que je disais être petit fils d’un Premier Dignitaire de
l’ANNAM, juste après les représentants de la France. Que je suis président
d’une association qui compte quelques sénateurs et députés. Que je voulais
redonner une sépulture à mes Grands Parents, par ce que les communistes avaient
rasé les cimetières. Que je me privais de tout pour assurer un possible avenir
à mes filleuls. Que j’ai mille occupations alors que je suis lourdement et
gravement invalide. Et j’ai bien d’autres activités encore.
Infamie.
Ce 14 octobre 2008, pour les motifs : ‘’Attendu
qu’il est établi par l’ensemble du dossier et plus spécialement par les
éléments médicaux que M. … souffre de difficultés d’ordre névrotique à tendance
paranoïaque avec surestimation de l’amour propre, qui n’altère pas
fondamentalement ses facultés mentales mais peuvent lui faire commettre des
erreurs de jugement, dans ses actes et ses propos et qu’il a, de ce fait,
besoin d’être conseillé ou contrôlé dans les actes de la vie civile’’, le Tribunal d’Instance du XVième
me mettait sous la tutelle de l’UDAF.
La juge me jugeait certainement paranoïaque par ce
que j’ai trop d’activités, trop de personnalité et trop fier. Elle avait écarté
la proposition d’une amie qui s’était présentée pour être ma tutelle. Il était
aussi question d’une période de probation. Je rappelle que les médecins de
Ste-Anne m’avaient dit que ce serait pour m’aider à profiter de mon peu
d’argent et ne plus me priver pour autrui. Le tract disait que j’aidais
financièrement une famille pour pallier aux carences de moyens de nos
institutions sociales. Les enfants sont mes filleuls de baptême.
Je comprend seulement que l’on aide UDAF à avoir
plus de « clients » et plus de subventions.
Pour empêcher mes trois filleuls de se retrouver
sans domicile et de compromettre leur avenir, j’harcelais les ministères par
mes courriers. Devant les gesticulations et les promesses sans engagements de
tous nos élus, j’ai écrit le tract qui avait occasionné ma mise sous tutelle.
(Votre intercession au prés de Madame Christine BOUTIN, Ministre du logement,
est resté sans effet. Votre référence : CAB/YI/IA/-200800160406)
Mes aides pécuniaires ne m’on jamais occasionné la
moindre interdiction bancaire. Bien avant mon internement, par un courrier à
mes filleuls, j’avais fait savoir que je n’assurerai plus que les études de mes
trois filleuls et rien d’autre.
Ma mise sous tutelle est une infamie qui nuira à
l’avenir de mon association.
Je demande à Madame la Ministre de la Justice de
m’éviter de devoir payer les services d’un avocat et de trouver des experts
psychiatre qui ne soit pas des copains de ceux de Ste-Anne. Je me dois de faire
appel du jugement.
Je vous remercie de votre attention. Veuillez
agréer, Madame, l’assurance de mon profond respect.