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LES RAISINS DE LA COLERE

21 octobre 2008

RIEN NE SE FERA SANS PUBLICITE

pour faire simple, je commence par ma dernière lettre, en date du 20 octobre, à notre Garde des Sceaux.
Les explications et développements viendront avec les pages et les liens qui seront ajoutés.


   Madame Rachida DATI

   Ministre de la Justice.

Madame,

Je suis victime de fanfaronnades, d’une irresponsabilité et d’une infamie émanant de fonctionnaires ou assimilés.

Fanfaronnades.

Après dix mois de réflexions, contre les médecins de l’hôpital Sainte-Anne de Paris XIVième je porterai plainte pour : mise en danger de ma personne organique et contre ma personne mentale. Mais, ce n’est pas le propos de cette lettre.

A cause d’une procédure de la police, j’ai été conduit à Ste-Anne. Je vous avais informé que j’ais été victime de violences policières devant trois pompiers. J’étais complètement consentant d’être emmené. Je réclamais seulement d’être décemment vêtu et non pas de partir en tongue et en habits de jardinage mal odorant. (vos références : CAB/YI/IA/-200800160406 du 06/02/2008).

Les médecins de Ste-Anne avaient rapidement diagnostiqué que j’avais une sérieuse défaillance de la thyroïde. Ils continuaient cependant à m’administrer des drogues. Je pouvais très difficilement me déplacer. Je ne m’exprimais que par des mouvements de la tête. Je ne trouvais le sommeil que dans l’épuisement à cause de douloureuses impatiences dans les cuisses et les jambes, voir des crampes. Après la prise des médicaments, pendant quinze à vingt minutes, mon cœur battait plus vite et plus fort. Je m’allongeais sous une fenêtre pour respirer l’air froid. J’entendais les battements de mon cœur au niveau des tempes.

J’avais jusqu’à cinq visites d’amis chaque jours. J’étais incapable de leurs dire que j’étais conscient d’être en danger de mort. En cas de danger, je ne pouvais pas compter sur le secours d’un malade. J’avais médité sur les conséquences d’un accident possible. Je sais, aujourd’hui, que l’hôpital serait dégagé de toute responsabilité si je venais à décéder. On pouvait donc me tuer sans se risquer.

L’ordre de ma relaxe, par le Préfet de Police, avait mit fin à ce petit jeu. On ne m’avait certainement pas soigné pour ce que je ne souffrais pas. On avait certainement porté atteinte à ma santé. A mon médecin traitant, on s’était abstenu de fournir la liste des potions que j’ai dû ingérer. Le rapport d’hôpital à l’entête du Pr MASSE était illisiblement paraphé par une tierce personne. Je demande à connaître les effets à long terme des mixtures ingurgité à Ste-Anne.

Après avoir lu le tract dont les quelques lignes étaient la cause de mon hospitalisation, le groupe médical avait décidé de me mettre sous curatelle pour ‘’ m’aider à ne plus envoyer de l’argent à mes infortunés filleuls’’. Comment pouvait-il estimer mon état pour pondre les avis dont le tribunal s’était servi.

Irresponsabilité et absence de libre arbitre.

Le Dr Henry FRIGNET mandaté par le tribunal, avait clôturé la consultation en déclarant qu’à la vue des recommandations des confrères de Sainte-Anne, il était obligé de recommander une tutelle très très allégée. (Par habitude, j’avais enregistré cette consultation).

Il est possible qu’il m’avait lui même jugé paranoïaque par ce que je disais être petit fils d’un Premier Dignitaire de l’ANNAM, juste après les représentants de la France. Que je suis président d’une association qui compte quelques sénateurs et députés. Que je voulais redonner une sépulture à mes Grands Parents, par ce que les communistes avaient rasé les cimetières. Que je me privais de tout pour assurer un possible avenir à mes filleuls. Que j’ai mille occupations alors que je suis lourdement et gravement invalide. Et j’ai bien d’autres activités encore.

Infamie.

Ce 14 octobre 2008, pour les motifs : ‘’Attendu qu’il est établi par l’ensemble du dossier et plus spécialement par les éléments médicaux que M. … souffre de difficultés d’ordre névrotique à tendance paranoïaque avec surestimation de l’amour propre, qui n’altère pas fondamentalement ses facultés mentales mais peuvent lui faire commettre des erreurs de jugement, dans ses actes et ses propos et qu’il a, de ce fait, besoin d’être conseillé ou contrôlé dans les actes de la vie civile’’, le Tribunal d’Instance du XVième me mettait sous la tutelle de l’UDAF.

La juge me jugeait certainement paranoïaque par ce que j’ai trop d’activités, trop de personnalité et trop fier. Elle avait écarté la proposition d’une amie qui s’était présentée pour être ma tutelle. Il était aussi question d’une période de probation. Je rappelle que les médecins de Ste-Anne m’avaient dit que ce serait pour m’aider à profiter de mon peu d’argent et ne plus me priver pour autrui. Le tract disait que j’aidais financièrement une famille pour pallier aux carences de moyens de nos institutions sociales. Les enfants sont mes filleuls de baptême.

Je comprend seulement que l’on aide UDAF à avoir plus de « clients » et plus de subventions.

Pour empêcher mes trois filleuls de se retrouver sans domicile et de compromettre leur avenir, j’harcelais les ministères par mes courriers. Devant les gesticulations et les promesses sans engagements de tous nos élus, j’ai écrit le tract qui avait occasionné ma mise sous tutelle. (Votre intercession au prés de Madame Christine BOUTIN, Ministre du logement, est resté sans effet. Votre référence : CAB/YI/IA/-200800160406)

Mes aides pécuniaires ne m’on jamais occasionné la moindre interdiction bancaire. Bien avant mon internement, par un courrier à mes filleuls, j’avais fait savoir que je n’assurerai plus que les études de mes trois filleuls et rien d’autre.

Ma mise sous tutelle est une infamie qui nuira à l’avenir de mon association.

Je demande à Madame la Ministre de la Justice de m’éviter de devoir payer les services d’un avocat et de trouver des experts psychiatre qui ne soit pas des copains de ceux de Ste-Anne. Je me dois de faire appel du jugement.

Je vous remercie de votre attention. Veuillez agréer, Madame, l’assurance de mon profond respect.

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21 octobre 2008

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LES RAISINS DE LA COLERE
  • Bien avant la naissance de mes trois filleuls, je me battais pour venir en aide à leur famille, sans jamais de résultat quelque soit le gouvernement. Des amis m’ont expliqués que c’est par ce que nous sommes des français en France. Je commence à les croire
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